Thursday, March 29, 2018

Malfas

Malfas - Ritual To Kingdom Of New Legion - 2013 01. Malfas - Ritual To Kingdom Of New Legion, 2013 CDr
     Metal Blood Producciones - M.B.P.009
Very primitive death attack from the bowels of the Chilean desert: Malfas. Noisy, fast and super raw, this is your new treat when you have already heard all the Norwegian demos from 1991. Not very nice, very much zer!
Remove brackets and unzip: [ritualizer]
!ZER Malfas ZER!

27 comments:

  1. du coup, on se demande bien pourquoi Daniel J. Mitchell qui est si fort ne se presente pas aux elections pour etre president et justement mettre en pratique ses theories

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    1. Amusant, lors d'un dîner récent on m'a fait la même remarque en me suggérant avec défi de me présenter à la mairie. Je ne sais pas pour Daniel J. Mitchell, mais en ce qui me concerne il y aurait un énorme coup d'opportunité, à savoir sacrifier mon entreprise de logiciel, voire mes activités musicales, pour mener une "carrière politique".
      Mais plus important, l'idée même est absurde : la politique représente l'inverse de l'éthique, c'est la mise en forme de la barbarie autoritaire, soit tout le contraire de ce qui est juste. C'est comme comme si tu suggérais à un juif de s'inscrire au parti nazi pour changer ce système de l'intérieur.
      La réponse est logiquement un "non" bien dodu, mais ça m'intéresserait de comprendre pourquoi ce type de remarque surgit régulièrement, en particulier quel aspect tu trouves si intéressant dans ce que critique Mitchell à propos des taxes que le FMI de la maigre truie Christine Lagarde veut imposer aux pays pauvres en Afrique ? La voie la plus optimiste pour ces populations serait simplement de voir disparaître le FMI et ses manivelles à corruption.

      De plus, et ça doit être incompréhensible vu de France, aux USA il existe un Parti Libertarien dont les propositions vont dans le sens de la diminution de l'emprise de l'État sur la société, donc Daniel J. Mitchell peut continuer dans la voie qui l'intéresse et écrire des articles intéressants, et laisser le jeu politique au Parti Libertarien.
      C'est impensable en France tant ce pays est infecté jusqu'à l'os par le ,virus socialiste. De Mélenchon à Le Pen en passant par toutes les couleurs de brun intermédiaire, tous les partis français sont de fervents promoteurs de socialisme de droite ou de gauche, d'autoritarisme et de domination du peuple par la force, et ils ne savent proposer que davantage de législations, d'impôts et de taxes. Ce n'est pas pour rien que la France a un classement minable sur l'indice de liberté économique. Il ne faut pas s'étonner si le pays s'enlise depuis des décennies dans la torpeur molle d'un collectivisme morbide qui finira par s'effondrer comme au Venezuela.

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  2. je ne pourrais plus te dire ce que je trouvais pertinent (ou pas) dans l'article mais je sais que c'est profondement anormal que ces gens du FMI ne payent pas d'impot! c'est bon pour les autres mais pas pour eux....

    qui te parle de carriere politique?? il suffit de se faire elire, de faire passer les lois qui vont bien (bon dans notre cas, ca serait plutot d'enlever des lois...) et de retourner tranquillement a sa vie puisque justement on a pas besoin de politiques.
    soit ca marche et les gens ne vondrons plus revenir au systeme d'avant, soit ca marche pas et va falloir reflechir a autre chose...et pour savoir , faut essayer, il n'y a pas d'autre choix.

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    1. Tu as raison et ça tombe bien, j'ai lancé le Parti Démission l'an dernier.

      Il faut bien voir que déterminer si "ça marche" n'est que le second critère qui m'intéresse, c'est le côté pragmatique et utilitariste. Avant cela, il y a l'éthique et l'utilitarisme nie l'éthique de non agression. L'utilitarisme n'est pas une position défendable, cela ne peut être qu'un dernier recours. Je ferai toujours partie de ceux qui quittent Omelas.

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  3. haha bien la page de ton aprti, mais il manque une partie du programme, a savoir l'annulation des lois qui emmerdent le monde et aussi l'annonce que les hommes n'ont pas besoin de gouvernement pour les diriger.
    sinon ta demission ne sert qu'a provoquer une nouvelle election.

    j'ai un peu de mal a comprendre la 2eme partie de la reponse. et je vois pas trop pourquoi tu dis que voir si ca marche n'est que le 2eme critere qui t'interresse.
    si tu propose cette solution, c'est que tu as fait ton choix, tu es convaincu que c'est la meilleure solution parmis toute celle que l'on a pu te proporser ou tu as peu imaginer et puisque que c'est la meilleure, il est temps de passer de la theorie a la pratique, ce qui en general nous reserve le plus souvent des surprises auxquelles on ne s'attendait pas.

    je vois que chez omelas, la societe est limité dans sa technologie a cause (??) que les ressources sont communes et non privée. ha je serais curieux de savoir qui a erigé cette idee en dogme...car pour autant que je sache, tout ce que l'on construit n'est pas parfait et est donc forcement perfectible.

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    1. Parti Démission : tout à fait, mais je laisse le sale boulot au Parti Libertarien du Canada. Je trouve mon approche beaucoup plus économe, ça me laisse du temps pour propager des albums bruyants sur un blog.

      Il n'est pas seulement question d'être convaincu, il est surtout question de savoir si la solution préconisée respecte l'individu : l'éthique de non-agression est inévitable. Je rejette toute solution intermédiaire (diluée dans l'État), comme je rejette toute théorie scientifique qui partirait du fait que que 1 = 2. La fin de justifie pas les moyens, quand les moyens sont des êtres humains.
      Et l'observation confirme que c'est la bonne voie quand on constate qu'il y a une corrélation systématique entre la liberté économique et la paix, l'avancement et la prospérité de la société & bien-être des individus.
      L'État, c'est la ruine, la guerre, l'esclavage et la pollution.

      La "propriété commune", non privée, des ressources est un facteur systématique de retard économique, de gaspillage et de corruption, depuis 1968 le phénomène porte le nom de ­tragédie des biens communs.

      Venezuela.

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    2. bon ma remarque sur omelas etait hors sujet, j'ai ete induit en erreur par la fiche wikipedia qui presentait cette societe a l'image de ce que tu abhorres.... le probleme d'omelas, c'est l'enfant...

      tu vois moi je lis ton lien sur la tragedie des biens commun comme une consequence directe du capitalisme ou chacun ne voit pas plus loin que le bout de son nez. chaque pecheur essaye de choper le plus de poissons possible afin de se faire le plus de thunes possible.
      et quand a la majorité des consommateurs, il se foutent que la mer se vide du moment qu'ils puissent avoir leur bout de pouascaille a un bon prix quand il le veulent!

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    3. Tout à fait, le problème d'Omelas c'est l'enfant martyrisé pour garantir le bien-être de la population. Cela invalide totalement l'utilitarisme, cette fausse philosophie, et partant, toute justification de l'action politique (essentiellement basée sur "la fin justifie les moyens" et l'usage de la force), en particulier en démocratie.

      Concernant la tragédie des communs, ce que tu relèves sont les comportements égoïstes ou ignorants ou les deux. La définition du capitalisme qui a du sens dans ce genre de discussion est "interactions libres en adultes consentants", ou "volontarisme". De là découlent les notions de propriété de soi, puis de propriété privée, et donc de responsabilité et de liberté.

      Dans le cas des biens communs, puisqu'il n'y a pas de propriétaire, personne ne paie le prix de son comportement abusif (ou alors, seulement quand c'est trop tard). Le systême incite même à avoir un comportement abusif, puisque tout ce que tu ne récupères pas avant les autres, tu n'auras plus jamais accès. Alors chacun est tenté, même sans essayer de tout s'accaparer, de juste améliorer son sort de 3% au détriment des autres, et c'est la dégringolade. Pire, même sans mauvais esprit égoïste, il est impossible à chacun (pas d'échanges économiques, pas de prix) de savoir quelle est la bonne quantité de ressources à utiliser. Dans ce contexte, la préservation n'a aucune valeur pour les individus (égoïstes, court-termistes etc). CF la triste histoire écologique de l'URSSS ou de nos jours le Venezuela.

      Dans le cas des biens privés, c'est l'inverse : chacun est incité à gérer sa propriété au mieux de ses intérêts. C'est pour cela que les éleveurs n'abattent pas l'intégralité de leurs troupeaux, mais le font prospérer pour avoir encore une activité commerciale d'une année sur l'autre, tandis que les espèces sauvages sont décimées par les braconniers. Il y a peu de chances que les poules et les cochons soient menacés d'extinction, on ne peut pas en dire autant des rhinocéros. Pour un éleveur, la préservation a une grande valeur, pour un braconnier aucune - s'il ne chope pas l'animal, un de ses concurrents va le faire, alors autant que ce soit lui et pas de quartier.
      En transformant l'égoïsme, inévitable caractéristique de la nature humaine, en incitation à faire fructifier sa propriété privée, et en faisant payer le prix de leurs erreurs aux individus, le capitalisme est donc la meilleure manière d'éviter la tragédie des biens communs.

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    4. sauf que lors que l'impose a ces messieux les pecheurs des quotas, ceux ci se plaingnent qu'on cherche a les "tuer" en les empechant de travailler, c'est bien la preuvre que ceux ci sont plutot des mauvais gestionnaires.

      mais privatiser les mers, on fait ca comment comment?? vu que ca n'appartient a personne, tu l'achete a qui??? le 1er arrivé est le 1er servis??

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    5. et quand aux rhinoceros (et autres grands mamiferes) ne sont pas t'ils pas plus victimes de la betises des grands de ce monde et autres grandes fortunes (les grands defenseurs du capitalisme, en particuliers tant qu'il va dans leur sens)) qui trouvaient ca cool pendant un grand partie du 19eme et 20eme de les chasser ainsi que de la perte progressive de leur habitat naturel et de nos jours du braconnage car grace a des croyance archaique, il y a un marché, illegal, a fournir, et donc du fric a se faire...

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    6. Bêtise, cupidité, égoïsme, jalousie sont des défauts du caractère humain, ne sont pas plus concentrés chez les riches que les pauvres, et ne constituent pas des justifications philosophiques.

      En revanche, constatant que la nature humaine est ainsi faite, il y a deux possibilités.

      Soit on décide de la changer, ce qui est très ambitieux. Cela s'appelle l'ingénierie sociale, par le biais de laquelle, considérant la société comme une machine dont les individus ne sont que des rouages automatisés, on essaie d'en corriger les défauts par un système de contraintes et de courroies. C'est bien sûr immoral puisque l'individu est nié au "profit de l'ensemble" (guillemets car il s'agit en fait du profit des dirigeants politiques).
      De plus cette position est très fragile car personne n'a jusqu'ici su expliquer comment les dirgieants, des êtres humains de chair et d'os, sont, eux, exempts des défauts qu'ils tentent de corriger dans la population. De la démocratie à l'anarcho-syndicalisme, il y a toujours des dirgeants politiques. Cette fragilité augmente quand on réalise que la politique est elle-même un marché, dont les acteurs répondent à des incitatifs politiques au lieu d'économiques, avec les mêmes problèmes de cupidité, egoïsme etc. Cela a été formalisé dans la Théorie du Choix Public. En bout de lignes, ce sont toujours les pires qui s'en sortent le mieux et qui arrivent au pouvoir.

      Soit on décide de s'adapter aux défauts humains, c'est la philosophie libertarienne, ou capitaliste. Chaque individu est responsable de ses choix, en subit les conséquences, en récolte les bénéfices. Cela n'exclut aucunement la charité, l'écologie etc., bien au contraire, cela les optimise (plus de lois permissives sur les droits de polluer, plus de système de "solidarité" défaillant et corrompu etc.).
      Contenir les défauts humains en responsabilisant l'individu (tu casses, tu payes) a toujours été plus performant que de dissoudre la responsabilité dans un groupe.

      Quant aux espèces menacées, il y a de nombreux exemples de privatisation qui les ont sauvées (élevage, zoos, zones protégées privées), tandis que l'inflation des lois et de mesure étatiques n'ont fait qu'intensifier la tragédie des commmuns.
      La privatisation des milieux liquides n'est pas plus absurde que celle de la terre ferme, et avec les technologies modernes, de plus en plus simple. Même le milieu scientifique (porutant très socialiste) y est favorable.
      Je suis moi-même contributeur mensuel du Seasteading Institute.

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  4. sauf que ta theorie libertarienne, tu suppose que chaque individu est responsable, ce qui n'est evidemment pas le cas et bien sur les consequences de ses erreures touchent une aprtie des autres individu.
    tu peux privatiser la mer, les poissons se foutent royalement des limites que tu instaureras. et il suffit de quelque individus peu competant pour foutre a mal le travail des autres. si un prorprietaire d'une parcelle decide de vider sa parcelle de ce qu'il y trouve, pour se faire un max de blé afin de pouvoir se payer quelque choses d'autre, c'est l'emsemble qui va en patir. et rien ne l'empeche de le faire.
    et pour quelqu'un qui veut mettre a bas les etats et les frontieres, je trouve que tu veux beaucoup en creer d'autres, mais d'une dimention plus petites.

    j'ai pensé a un truc a propos d'Omelas.
    ne trouves tu pas qu'en quittant Omelas, tu es tout aussi egoiste, voir plus que les autres?? en effet, tu as conscience de la condition de l'enfant mais en refusant de causionner le systeme par la fuite, tu ne change rien au sors de l'enfant et donc par la, tu te comportes exactement comme les autres.

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    1. toujours sur Omelas, si quitter omelas n'est qu'une parabole signifiant que tu te suicide, c'est toujours la solution que tu choisis???

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    2. et toi qui aime les lectures ayant des proprietés laxative,
      as tu deja lu celui la???
      https://www.amazon.fr/Nostradamus-historien-proph%C3%A8te-Proph%C3%A9ties-1555/dp/2268000885/ref=sr_1_4?s=books&ie=UTF8&qid=1523103860&sr=1-4

      bon le mec se plante assurement pour les dates dans les propheties mais il y en a 3 qui m'ont bien marquées car on vit assurement depuis quelques années 2 d'entre elles. quand a la 3eme, la mort d'une personne "importante" (que je ne te nomme pas mais que l'on connait) dans une ville (a priori francaise) marquée pas l'eau, si elle se produit, c'est plutot un bon poil a gratter pour les esprits cartesien.

      apres c'est sur, n'ayant jamais lu aucun autre essais de traduction, je ne sais pas si les autres tirent de ces meme vers d'autres situations tout aussi valable....

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    3. Comme je l'ai cité plus haut, "responsable" est pris dans le sens de "bénéficiaire" des pertes ou des profits qui découlent des actions de l'individu. On ne suppose rien du tout sur les compétences de l'individu, ni sur sa moralité. Tu détruis, tu payes, tu construis tu gagnes. Les conséquences de tes actions te sont imputées, bonnes ou mauvaises, que tu aies été très prudent ou complètement imprévoyant, altruiste ou égoïste, chanceux ou malchanceux.
      Que ce soit pour des populations de poissons ou des forêts ou des gaz toxiques, si l'individu porte préjudice à autrui, en toute conscience ou par incompétence, il doit réparation à ses victimes. Le préjudice est déterminé par les infractions aux ententes passées entre les parties (par exemple l'association des propriétaires maritimes qui peuvent établir des quotas, drroits de passage etc), ainsi que les droits de propriété tous les autres êtres humains. Lien déjà founir plus haut.
      Avant de sauter sur le prochain sujet, à savoir qui va faire respecter ces ententes et droits de propriété, alias la notion de justice sans État, je précise tout de suite que bien entendu, ce sujet est bien établi et même déjà en place partiellement (de nos jours cela s'appelle "réglement hors cour" par le biais de sociétés d'arbitrage et de médiation). Discussion avec l'auteur. Jusqu'au XIXe siècle, la justice privée était même la norme un peu partout (voir le mini livre A Centruy of Anarchy sur l'enclave libre de Moresnet entre la Belgique, la France et l'Allemagne, et le livre The Voluntary City, lien sur la droite).

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    4. Ton interprétation de ceux qui quittent Omelas est étrange. Ne rien faire, c'est pire que d'être parmi les bourreaux ? Donc en ce moment, tu es un véritable boucher parce qu'au lieu de me répondre, tu ne vas pas te battre auprès des victimes de ? J'ai beau tordre mon sens de la morale selon tous les axes de la logique, je n'arrive pas à faire rentrer la proposition dans le puzzle.
      L'histoire est écrite pour critiquer l'utilitarisme. Dans cette fausse philosophie, on doit rechercher le bonheur du plus grand nombre et la fin justifie les moyens. Donc si tu t'opposes activement au mauvais traitement de la petite fille, au lieu de passivement, par ton simple départ, tu deviens immoral puisque tu t'oppposes au bonheur du plus grand nombre. C'est exactement le problème de la démocratie : le plus grand nombre vote un truc, les autres s'écrasent ou partent, c'est la règle du jeu. Si quelqu'un proteste activement (par exemple en cessant de payer ses impôts), cet individu devient un criminel relativement à cette règle du jeu. Il subira la "justice" perverse de ce système absurde. C'est pourquoi je suis totalement hostile à la démocratie, qui n'est qu'une variante de la loi du plus fort, un simple comportement de meute animale.
      De plus, si de plus en plus de monde s'en va d'Omelas, le phénomène cessera quand ceux qui veulent partir seront en nombre égal à ceux qui veulent continuer (car dans ce cas : le plus grand nombre = la moitié + la petite fille). C'est une solution lente, mais stratégiquement défendable, même si insatisfaisante.
      Enfin, on peut aussi admettre que ceux qui quittent Omelas le font par peur des représailles : ne se sentant pas assez forts pour lutter physiquement contre la mafia au pouvoir, i.e. la majorité qui décide comme une meute animale, ils préfèrent s'en aller plutôt que mourir dans un combat perdu d'avance. Par exemple si tu était citoyen-esclave de Corée du Nord, essaierais-tu de monter une révolution armée, dans laquelle ta famille et toi subirez certainement le pire, ou tenterais-tu de passer au Sud ? Si tu était pris dans une attaque de banque, défierais-tu avec ton téléphone et ton stylo les preneurs d'otage armés de mitraillettes qui ont déjà exécuté deux personnes, ou resterais-tu tranquillement couché par terre avec les autres en espérant que ça se termine au plus vite ? Dans ce cas, serais-tu "pire" que les preneurs d'otage parce que tu ne leur résistes pas ?

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  5. Je doute fortement que ceux qui partent d'Omelas se suicident car d'un simple point de vue pragmatique, autant en finir en faisant sauter la mairie. La ville serait alors rongée par les attentats-suicide ! Et le principe d'utilitatrisme serait mis à mal, et la ville cesserait rapidement de torturer des petites filles.
    Mais si on prend tout de même l'interprétation du départ comme un suicide, je pense que non, je ne choisirais pas cette solution. Je suis trop peu brave, à la place je rejoindrais un groupuscule anarchiste pour dénoncer partout cette pratique inqualifiable, haha.


    Putain je viens de terminer le Capital de Karl Marx, moyennement motivé par Nostradamus ! Tellement facile d'interpréter n'importe quoi n'importe comment... Tiens, une prophétie : Le primate aux cheveux instables aura la petite main sur le gros bouton avant que la truie aux grosses joues sépare les trois moitiés.

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    1. ton interpretation est aussi etrange, tu penses que c'est la societe qui impose les traitements infligé a l'enfant et que ces mauvais traitments permettent aus reste des membres de cette societe de bien vivre. sauf qu'en eux meme ces mauvais traitement n'apporte rien au autres, ne sont pas utilitaire a moins d'avoir une vision mystique de la chose, genre sacrifice a un dieu.
      perso, je pense que l'on peut tout aussi bien voir l'enfant comme etant une allegorie d'un pauvre, juste un tout petit qui permet au reste de la societe de vivre dans le confort, l'abondance.

      et pour ceux qui quittent omelas, on se sait pas ou ils vont, ce qu'ils deviennent tout comme on ne sait pas si une vie en dehors d'omelas est possible. omelas peut etre le monde entier et partant de la, tu ne peut pas t'en soustraire.

      oui je dit que fuir l'enfant c'est limite etre pire que ceux qui restent. la seul vrai solution ethique serait de partager le sort de l'enfant.

      pour nostradamus, c'est pas les fait deja passées qui sont interressant mais ceux qui reste a venir. faut voir le charabia dans lequel c'est ecrit comme un code informatique (qui est du charabia pour les non initiés) et voir comment le mec se sert de ce code pour faire les predictions des faits a venir. et voir si le mec se plante totalement ou pas...
      et puis ca permet un peu de detente apres un capital qui doit etre tres chiant a lire!
      (j'ai voulu relire mein kampf il y quelque temps pour me rafraichir la memoire sur sa position par rapport a la france, pfff tu parles j'ai pas reussi a aller jusque la tellement c'est chiant a lire, entre les idees a la con, le style pourri, les contradictions dans la loqique et la lecture sur tablette car fichier pdf)

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    2. Ce passage est clef dans l'histoire :

      But there is nothing they can do. If the child were brought up into the sunlight out of that vile place, if it were cleaned and fed and comforted, that would be a good thing, indeed; but if it were done, in that day and hour all the prosperity and beauty and delight of Omelas would wither and be destroyed. Those are the terms. To exchange all the goodness and grace of every life in Omelas for that single, small improvement: to throw away the happiness of thousands for the chance of happiness of one: that would be to let guilt within the walls indeed.

      C'est sans ambiguité une critique de l'utilitarisme. On ne veut pas risquer de nuire au plus grand nombre pour une miniscule amélioration localisée.

      Il n'y a aucune autre interprétation que : la société d'Omelas impose par la force son triste sort à l'enfant pour en tirer "all the prosperity and beauty and delight", et le tout repose sur un fait surnaturel, e.g. de la magie (cf. passage souligné).
      Tu ne peux pas y voir une "allégorie d'un pauvre" sans sous-entendre que tout pauvre, dans le monde réel, est dans sa condition à cause de ceux qui ne sont pas pauvres, qui utilisent la force contre les pauvres. Or ceci est fondamentalement faux, et cette notion, bien qu'extrêmement répandue, a autant de solidité que la théorie de la terre plate.
      Je sais bien que c'est ce que chantent tous les artistes, tous les médias, voire toute l'éducation publique, et qu'il est très difficile de se séparer de cette idée (je l'ai moi-même crue la plus grande partie de ma vie), mais pourtant l'économie de marché n'est pas un jeu à somme nulle, et le marché n'est pas basé sur l'usage de la force.
      Dans une écnomie de marché, les pauvres ne sont pas pauvres à cause des riches. Dans une économie corrompue, corporatiste, politique, DES RICHES UTILISENT L'ÉTAT POUR ARRIVER À LEURS FINS (cf la première vidéo en haut à droite). Le seul environnement dans lequel ton allégorie du pauvre a du sens est celui de la politique, cette industrie machiavélique qui ne crée aucune richesse, et redistribue par la force celle qui est générée par le monde non politique, créant effectivement des victimes d'Omelas (ceux à qui on prend) et des bénéficiaires d'Omelas (ceux à qui on donne).

      Quant à la bonne attitude à avoir vis-à-vis de la petite fille, si tu penses ce que tu écris, tu dois immédiatement prendre l'avion pour la Corée du Nord ou le Venezuela pour aller souffrir avec ces populations.

      Je fais des logiciels depuis 1992 et, à moins d'avoir raté un pan entier de l'industrie, je n'ai jamais vu que du code déterministe, jamais sujet à interprétation. Même si c'est du charabia pour les non initiés, c'est juste de la formalisation pour dompter une machine. Ce n'est pas parce que Nostradamus écrit du charabia que sa valeur et son contenu sont comparables à du code informatique.

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    3. c'est bien pour ca que la seul chose utile a faire a omelas, c'est d'aller rejoindre l'enfant car ca brisera la pacte qui permet a omelas d'etre prospere. partir on ne sait sait ou ne change rien mis a part marquer ta desaprobation au systeme.
      il me semble qu'il y a un point que tu oublie, c'est qu'il existe une multitude de metier qui ne t'autorise qu'un faible niveau de vie. je me demande bien comment tu etre libre si ton salaire te permet a peine de payer ton loyer, ta nourriture en te contentant d'aller au moins cher et une voiture pour aller bosser. ne fait pas l'erreur de rendre les gouvernements responsable de tout les travers.
      d'ailleur dans ton article sur l'eco de marché n'est pas un jeu a somme nulle, il y a cette phrase "dans un monde où tout n’est pas disponible en quantités illimitées" qui est assurement vrai mais aussi fausse car on peut tres bien dire que l'on est dans un monde ou la plupart des choses sont en quantité suffissante car fanchement c'est quand la derniere fois que tu as vu la penurie d'un produit essentiel dans un supermarché.
      quand trump se plaint que le mec d'amazon contribue a la faillite et donc la perte d'emploi des nombreux detaillants locaux, le capiatliste que tu es ne peux que lui donner tord, n'est ce pas? mais quelle est la solution pour recaser les mecs rapidement car on vit dans un monde ou on a de moins en moins besoin de monde pour fabriquer beaucoup mais ou tu as chaque jours des depenses a faire, ne serait ce que pour bouffer.

      sinon que t'inspire cet article?
      https://techcrunch.com/2017/09/09/tesla-flips-a-switch-to-increase-the-range-of-some-cars-in-florida-to-help-people-evacuate/

      je suis perdu au fin fond de la vendee et en plus, plus je vieillis et plus je develope une aversion pour les grandes villes... ca va pas etre possible!

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    4. "la seul chose utile": c'est une stratégie en effet, mais alors pourquoi ne la mets-tu pas en pratique dans le monde réel ? Vaut-il mieux rejoindre un goulag ou tenter de le détruire ?
      Si Omelas est une parabole à propos de la démocratie, s'abstenir de voter (partir d'Omelas) finira par ôter toute légitimité au système. Je suis de ceux qui, vus les résultats minables des derniers siècles, ne croient pas aux révolutions armées, mais plutôt à l'érosion.

      Amazon a conduit des gens à la faillite, et a permis à bien d'autres de faire du commerce. Je suis évidemment totalement opposé à toute idée luddite et totalement favorable à l'automatisation maximale de tous les processus.
      Recaser le monde qui se trouve sur le carreau après un changement technologique n'est pas facile, mais c'est un travail individuel que chacun doit faire. Moi-même dans mon boulot je suis obligé d'apprendre tous les jours des trucs nouveaux, sinon je suis complètement dépassé en quelques mois, voire obsolète.
      Aurait-on dû empêcher l'utilisation de l'électricité pour ne pas casser le business des vendeurs de bougies ?

      "je me demande bien comment tu etre libre si ton salaire te permet a peine de payer ton loyer"
      Encore une fois, libre signifie : non-contraint par quelqu'un d'autre, et non pas : capable de faire tout ce que je désire.
      Oui un pauvre à moins de marge de manoeuvre qu'un riche, mais tant que l'un ne force pas l'autre, il n'y a pas à intervenir. Ça ne suffit pas de parler de "pauvre" et de "riche", il faut voir comment chacun en est arrivé à ce statut. Tant qu'il n'y a pas eu vol ou violence, il n'y a pas à intervenir [= par la force, par la loi etc. mais bien entendu, chacun est encouragé à faire oeuvre de charité volontairement].
      Pour la 3e fois, "pauvres" et "riches" ne sont pas des classes rigides comme les castes indiennes ou l'aristocratie pré-1789. Il y a une énorme mobilité, on tourne en rond­ sur ce sujet.

      " la plupart des choses sont en quantité suffissante "
      Par rapport à quoi ? Tu te souviens de la ridicule panique Nutella, dont j'ai entendu parler jusqu'ici ?
      Les supermarchés pleins sont l'exemple typique du fait qu'une économie de marché fonctionne. En système capitaliste les marchandises attendent les gens et en système socialiste les gens attendent les marchandises.
      Si un pauvre a besoin ou envie d'un truc qu'il ne peut pas acheter, aide-le avec ton association de samaritains volontaires, mais ne pointe pas un flingue sur ma tête pour me forcer à participer.

      Moi aussi je fais une aversion des foules... reste Skype sinon. Ce serait plus vif que par écrit.

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    5. rejoindre un goulag ne brise en rien le pacte fait, donc c'est un truc inutile. ne pas voter, ouai mais ya encore trop de gens qui s'imagine que ca sert a quelque chose. on l'a bien vu a la derniere election ou les gens preferent voter front national plutot que les autres en esperant qu'eux seront plus honnete et capable de faire evoluer les choses.
      peut etre militer pour obtenir l'ajout d'un bulletin "aucun des ces candidats" serait utile.

      o, est sur la meme longueur d'onde pour amazon (et les fabriquant de bougies) mais reste quand meme le probleme de recasement. plus ca va et moins on a besoin de monde pour effectuer les meme taches qu'avant. le probleme est la. et vu que reduire le temps de travail sans baisser les salaires n'est pas la solution... ok pour s'adapter mais 1 c'est pas forcement a la portee de tout le monde, 2 quand t'es quincaillé, c'est quand meme difficile de se reinventé et de lutter contre un truc aussi gigantesque qu'amazon.

      la liberté est aussi avant tout une interdition: ta liberté s'arrete ou commence celle des autres". donc d'une certaine maniere les autres te contraignent, indirectement a ne pas faire ce que tu veux et ceder a cette contrainte te rend libre....je sais c'est de la branlette intellectuelle et philosophique et un grand nombre de gens ne s'emmerde pas avec ca, il te mette un pain dans la tronche si tu oses les empecher de faire ce qu'ils veulent.

      la plupart des chose sont en quantité suffisante par rapport a la demande. je te rappelle que je suis pas la pour defendre la communisme contre la capitalisme mais pour te convaincre que le systeme argent n'est pas la meilleure facon d'interagir entre les uns les autres et qu'il vaut mieux accepter de donner chacun x heure son de temps chaque jour a la societé en echange de quoi on obtiendra l'acces a ce que l'on a besoin pour vivre. reste a trouver la bonne maniere d'y parvenir.

      bon mon lien ne t'inspire pas... moi je trouva ca limite choquant que l'on puisse oser vendre la meme voiture a deux prix different! je sais bien que l'une a moins d'autonomie mais c'est un bridage electronique et donc virtuel. tu vas me repondre que c'est a cause du manque de concurence, ce qui est vrai mais a la condition que la concurence existe, ce qui n'est pas toujours forcement le cas, qu'ensuite celle ci ne procede pas pareille, voir qu'elle ne s'entende pas avec son cuconrrent pour faire pareil (meiux vaut se partager le marché plutot que risquer que l'un des deux disparaissent) ou pire que la concurence ne soit organiser par le proprietaire de la 1ere entreprise...de plus ca montre que nos bon capitalistes n'adherent pas trop au principe du 'pay no more than'. ils ont une cible de consommateurs et une estimation de la somme qu'ils sont pret a debourser pour obtenir ce bien.

      tiens je viens de voir que la nouvelle tendance, c'est la location de l'electromenager... encore un truc pour te faire payer plus cher ce que tu n'as pas les moyens de te payer entierement en une seul fois a tout les coups et te faisant mirorter les bienfaits de la nouveauté.... c'est sur que le monde du refrigerateur ou du four est un truc qui evolue tellement rapidement!

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    6. j'oublie le nutella.... c'est intermarché en proposant une mega promotion (vendu a perte je crois)qui destabilise la demande.
      tu as ceux qui ont vu l'occasion de faire des economie en achetant ce qu'il aurait depensé en nutella peandant plusieur mois afin d'en avoir un stock pour peut etre un an.
      tu dois en avoir qui se sont dit je vais en prendre le plus possible et apres les revendre.
      il doit bien en avoir qui se sont dit tiens pour une fois le nutella c'est pas cher je vais en prendre.
      et au final, ca a ete un gros bordel avec des mecs qui remplissait des grandes poches et assurement trop de gens n'ont pas pensé tiens le nutella est pas cher, je vais pouvoir en profiter, avec l'economie, pour m'acheter autre chose en plus. ce qui etait surement l'idee de depart de la promotion.

      trop de gens sont bete, c'est pour ca qu'il faut penser pour eux, malheuresement

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    7. VinceApril 14, 2018 at 10:44 AM
      "rejoindre un goulag ne brise en rien le pacte fait, donc c'est un truc inutile."
      L'histoire ne dit pas que l'unanimité est requise à Omelas, seulement que le bonheur du plus grand nombre doit être garanti. Rejoindre la petite fille ne brise donc pas plus le contrat social d'Omelas que de quitter la ville, et ne semble pas plus utile que de d'aller dans un goulag. Mais comme c'est une parabole aux contours très flous, je ne vois pas bien à quoi mène la discussion. Admettons que tu as raison, il faut rejoindre la petite fille : en quoi cela rend-il l'utilitarisme (alias démcoratie) critiqué par la parabole plus justifiable ?

      "peut etre militer pour obtenir l'ajout d'un bulletin "aucun des ces candidats" serait utile."
      Voter blanc, c'est légitimiser la notion de vote, or cette notion est intrinsèquement fausse, dans le domaine public. C'est ce que www.zerocratie.org tente d'expliquer.
      La seule voie éthique est l'abstention, i.e. le refus de l'initiation de la force, et non pas le vote blanc (une autre livraison de candidats politiques ne change pas la nature du problème).

      "plus ca va et moins on a besoin de monde pour effectuer les meme taches qu'avant. le probleme est la."
      Ce n'est pas un problème, c'est une bénédiction, sinon il faudrait encore 100 personnes pendant deux jours pour creuser la tranchée qu'un bulldozer fait en deux heures. Je te fais remarquer que nous sommes en train de communiquer (gratuitement) grâce à la technologie, au lieu de nous envoyer des lettres par la poste - ce qui doit causer un énorme déficite d'activité auprès des transporteurs de courrier papier. Ce blog n'existerait même pas en 2000.
      Se recycler n'est facile pour personne. Le sort des fabricants de VHS ou des lifiters d'ascenseurs sera subi par encore bien d'autres professions, jusqu'à la fin des temps. C'est regrettable, mais il serait encore plus regrettable de forcer les autres à les compenser. Les fraternités et autres associations libres d'ouvriers et de professionnels du XIXe, ancêtres des syndicats, servaient justement à lisser ces problèmes de perte d'emploi (quelle qu'aient été les causes) de manière mutuelle, et non par la violence publique. C'est cette voie qu'il faut poursuivre.

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    8. "la liberté est aussi avant tout une interdition: ta liberté s'arrete ou commence celle des autres". donc d'une certaine maniere les autres te contraignent, indirectement a ne pas faire ce que tu veux et ceder a cette contrainte te rend libre...."
      Les autres n'ont le droit (du point de vue éthique) de te contraindre que quand tu enfreins leurs prorpes droits, qui se résument à conserver l'intégrité de leurs personnes et de leurs biens contre les agissements d'autrui. C'est à cela que sert la définition du droit par l'éthique, qui est implicitement comprise dans l'acte d'argumenter. C'est la conception du droit négatif, dans lequel les seules obligations sont négatives (tu ne tueras point, tu ne voleras point). En résumé, le droit négatif se limite à autoriser la légitime défense. C'est autant une contrainte que les limites que t'imposent la loi de la gravité sur ton désir de t'envoler.
      A contrario, une législation votée à la majorité (ou simplement édictée par le roi, ça ne change rien du tout au concept) ne respecte pas ce principe puisque c'est l'établissement d'un droit positif, i.e. qui impose des comportements (tu payeras des impôts, tu tu donneras le salaire minimum à tes employés, tu iras à la guerre - sous la menace de te mettre en prison, et si tu résistes, de te tuer), au lieu de simplement empêcher les comportements nuisibles. C'est le système légal actuel.
      Au risque de te faire saigner les yeux, je repsetce plus la deuxième moitié des dix commandements que l'intégralité du code civil ou même de la charte des droits de l'homme.

      "la plupart des chose sont en quantité suffisante par rapport a la demande."
      Pas du tout, et justement c'est la définiton d'un bien économique : une chose en quantité inférieure aux besoins exprimés. Et c'est pour cela qu'il existe un marché avec un système de prix pour mettre en relation la disponibilité des biens et services, et la demande.
      Un bien non économique est gratuit.
      Un type qui habite au bord d'un fleuve dispose sans payer de plus d'eau qu'il n'en a besoin pour sa vie quotidienne. Personne ne réussira à lui vendre un litre d'eau.
      Si le fleuve s'assèche ou si le type déménage dans le désert et que sa consommation d'eau ne peut plus être couverte, il paiera son eau à des fournisseurs. Il n'y a aucune exception à ce principe.

      "je te rappelle que je suis pas la pour defendre la communisme contre la capitalisme mais pour te convaincre que le systeme argent n'est pas la meilleure facon d'interagir entre les uns les autres et qu'il vaut mieux accepter de donner chacun x heure son de temps chaque jour a la societé en echange de quoi on obtiendra l'acces a ce que l'on a besoin pour vivre. reste a trouver la bonne maniere d'y parvenir."
      C'est exactement la définition du communisme.
      Le "système argent" est décentralisé et laisse les individus échanger entre eux de manière indépendante, ce qui crée le marché et les valeurs d'échange des biens et services, par opposition à une planification économique centralisée et vouée au désastre car, même administrée par des anges bienfaiteurs, elle empêche l'information sur la priorité des besoins de se former (pas de marché libre, pas de prix, pas d'information).
      La monnaie est à l'origine un bien économique. C'est le bien le plus liquide, i.e. le plus facile à échanger, c'est le bien qui a le plus de chances de trouver preneur dans un troc (des vaches aux pépites d'or). Excellent documentaire sur l'argent.

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    9. "bon mon lien ne t'inspire pas... moi je trouva ca limite choquant que l'on puisse oser vendre la meme voiture a deux prix different!"
      Moi aussi je paye mon internet moisn cher que le plna plus rapide... je ne suis pas choqué. Quand la SNCF n'est pas en grève, elle vend des places identiques dans le même train à des prix différents selon la date d'achat. Et ?

      La suite de ton irritation envers les monoples est à côté de la plaque. Seuls les monopoles garantis par l'État, par l'octroi de permis et autres mesures protectionnistes, permet à des monopoles de se maintenir. Un marché libre ne permet pas de laisser un monopole ou un cartel de survivre bien longtemps. Je te suggère de lire l'auteur économique français le plus lumineux et le plus ignoré en France : Frédéric Bastiat.

      "encore un truc pour te faire payer plus cher ce que tu n'as pas les moyens de te payer entierement en une seul fois"
      Faut être vraiment con pour ne pas prendre un crédit, si le but est réellement de posséder la chose plutôt que de la louer pour s'éviter les charges d'entretien et les risques inhérents à la propriété (comme la perte de valeur).

      "trop de gens sont bete, c'est pour ca qu'il faut penser pour eux, malheuresement"
      Quelles qu'aient été les motivations des gens qui se sont rués sur le Nutella, l'histoire démontre le principe de ce qu'est un bien économique, tel que cité plus haut.
      Quand aux gens qui sont bêtes, je te garantis qu'ils apprendraient très vite à améliorer leurs agissements s'ils payaient les coûts de leurs erreurs au lieu de les répartir sur la population entière via la démocratie.
      Je remarque qu'il arrive rarement que ce genre de conversation ne soit pas ponctuée par "les gens sont cons", sans que bien entendu cela concerne les protagonistes de la conversation en cours. Totu le monde est con, sauf nous, LOL !
      Et même si c'était vrai, pourquoi je subirais le coût de devoir penser à la place des autres ?

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  6. En passant, je serai à Paris vers le 22 ou 23 mai, si c'est ton coin et que tu veux boire un coup pour qu'on se dispute en live...

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zer

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